Les voiles urbaines
papier journal,tissu, corde
bois, polymère,pigments,vernis
2002
sans souffle l'aurore titube dans les veines
les siècles en ruine s'accumulent
la douce espérance
de dormir dans un nid de fièvre
le cri de la lune
et les yeux invisibles du désir
mille traces de vertige entre les jambes d'un violon
clefs en croix sur le coeur
les étoiles
ailes closes
se taisent
que c'est beau...que c'est beau
RépondreEffacerau cadenas mis aux étoiles
RépondreEffacerle sésame de la nuit
chaque rêve veut séduire l'aurore
seule l'amour fait le tri...
votre parole traverse et déchire;
une fille de la lune sans doute...
Wonderful.
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