mercredi 17 mars 2010

Poème à même le noir



la désespérance noire
de l'arbre en exil

l'incertitude
à jamais
de la lumière

le lait noir des jours

la poésie tu

les vagues oubliées
écoutent aux portes

comme des mots
en robe de bal
près de la mort
à

3 commentaires:

  1. chanel17 mars 2010 à 15 h 10

    l' arbre en exil couve des migrateurs
    idées passerelles
    mots passereaux

    je pense à la mort

    oubliée ou tue
    se résoudre

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  2. Leslie Avon Miller17 mars 2010 à 17 h 27

    I don't know the words, but your art speaks volumes.

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  3. Anonyme18 mars 2010 à 18 h 08

    votre commentatrice a raison...votre art perle en volume-s
    présences dites-vous

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