..Ombre avec tes ponts sans fin, tes couloirs ton silence, où je suis maintenant, une lampe allumée, et suivant mon passé, qui marche devant moi, sans rien me demander, sans daigner me répondre, indocile à la voix, se retournant parfois, pour voir si je suis là.
si blanche la grande nuit...
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tes couloirs ton silence,
où je suis maintenant,
une lampe allumée,
et suivant mon passé,
qui marche devant moi,
sans rien me demander,
sans daigner me répondre,
indocile à la voix,
se retournant parfois,
pour voir si je suis là.
georges haldas poète suisse décédé le 24 octobre