La lune pleure
sur des oiseaux de bois
déracinés
des chats
totems
tombés du ciel
rompent le pain de nuit
dans la ruelle
des soleils
mécanisés
des arbres morts
inséparables
remontent la Grande Ourse
les mots vagabonds
jusqu'au bord de tes lèvres
comme les yeux ouverts du désir
aime moi
RépondreEffacerà cette heure de la vie nous avons tous nos troupeaux de chats miaulant à la lune et partout dans nos fibres on sent leurs pas marcher en douce vers l'apparition... ;-)
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