Nos ombres s'allongent
Huile sur papier
43 x 36 cm, 2011
Entre des mots de pigments
et la peau de la lune
Entre l’échelle du temps
et la prière des loups
Nous marchons
La vie s’évapore
Et nous marchons
Sur la braise des jours
Les feuilles naissent nous tombons
Les feuilles tombent nous naissons
Et toujours nous marchons
L’hiver mûrit
Et devant nos ombres s’allongent
les génuflexions de l'ombre
RépondreEffacermarche cassée jusqu'aux épaules
pérégrination de "pénitent"
peine et temps