L'ART QUOTIDIEN
lundi 4 juin 2012
Bi
Deux par pas
deux par cri
(comme l'ombre d'une courbe dans l'oeil brisé )
poussière griffée au grand mât des heures
danse cachée au bord du vide
(oeils à la main)
prières aveugles à la table des regards
1 commentaire:
Anonyme
4 juin 2012 à 11 h 43
lourd
chaque âme qui reste a son pesant voyage
comme une bosse douloureuse posée à vif dans la peur
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lourd
RépondreEffacerchaque âme qui reste a son pesant voyage
comme une bosse douloureuse posée à vif dans la peur