Ce silence, mû chez-vous....Et tous ses échos réduits, relayés ... Et moi qui détrousse, à l'infinitf présent, ce qu'on peut saisir de votre course, filée de lévrier. J'y dépose, lentement, mon inscription.Petit Signalement torturé. Je note, d'une brindille, frayant vos terres ocres, la déchausse du temps: sa retraite, si précoce... Une empreinte mouvante. L'existence, sous scellé. Grade orange et urgence. Toujours. Et doutes. Certains. Les mots du matin font bombance: sauvages. Ceux du soir vont, peinards, domestiqués. Je vous rend grâce,longeant mes illusions et vos pistes de chimères, celles-la démoulées. Je ne suis pas seule en camouflage. Et la peur s'est enrayée: petite peste vivace. Balayée. Ne reste que son abscinthe, vision vertigineuse: la sainte paix. Enfin! À poursuivre!
Ce silence, mû chez-vous....Et tous ses échos réduits, relayés ... Et moi qui détrousse, à l'infinitf présent, ce qu'on peut saisir de votre course, filée de lévrier. J'y dépose, lentement, mon inscription.Petit Signalement torturé. Je note, d'une brindille, frayant vos terres ocres, la déchausse du temps: sa retraite, si précoce... Une empreinte mouvante. L'existence, sous scellé. Grade orange et urgence. Toujours. Et doutes. Certains.
RépondreEffacerLes mots du matin font bombance: sauvages. Ceux du soir vont, peinards, domestiqués.
Je vous rend grâce,longeant mes illusions et vos pistes de chimères, celles-la démoulées. Je ne suis pas seule en camouflage. Et la peur s'est enrayée: petite peste vivace. Balayée. Ne reste que son abscinthe, vision vertigineuse: la sainte paix. Enfin! À poursuivre!