Elles paraissent, ces traînées de temps déversées au miroir, larguée par les ans. Elles révèlent nos méprises, lâches, cessesions du lâcher-prise. Elles sont l’aube certaine d’un tricot aérien, léger. L’aurore d’un envol, permis, enligné. L'assumation. Car s’amorce ici, maintenant, la tombée d’un couperet; un dévoilement, global, prismatique. Arrive enfin une vision, s'impose l'offre ultime du soi, confronté. Total. L’existence se réfracte, se miroite au trousseau de toutes morts, puissantes mises à jour: la levée de conscience. L’Océane. La Mitoyenne. S’y jouxtent l’idéal, irisé, et les remords aigris. Petites rouilles et foudres d'oxyde sépia. Liquidés. Que s’attendrissent éternellement, Monsieur Gabriel, vos chimères rosissantes : douces mémoires d’églantiers. Et que s’espacent leurs envers, ces chevrons de redoutes, poncés par la lumière, survenue! Bienvenue. Bellement. Tellement!!!
Elles paraissent, ces traînées de temps déversées au miroir, larguée par les ans. Elles révèlent nos méprises, lâches, cessesions du lâcher-prise.
RépondreEffacerElles sont l’aube certaine d’un tricot aérien, léger. L’aurore d’un envol, permis, enligné. L'assumation. Car s’amorce ici, maintenant, la tombée d’un couperet; un dévoilement, global, prismatique. Arrive enfin une vision, s'impose l'offre ultime du soi, confronté. Total.
L’existence se réfracte, se miroite au trousseau de toutes morts, puissantes mises à jour: la levée de conscience. L’Océane. La Mitoyenne.
S’y jouxtent l’idéal, irisé, et les remords aigris. Petites rouilles et foudres d'oxyde sépia. Liquidés.
Que s’attendrissent éternellement, Monsieur Gabriel, vos chimères rosissantes : douces mémoires d’églantiers. Et que s’espacent leurs envers, ces chevrons de redoutes, poncés par la lumière, survenue!
Bienvenue. Bellement. Tellement!!!