dimanche 17 mai 2009
Qui suis-je
- Nom : gabriel lalonde
- Emplacement : Coteau du Lac, Québec, Canada
Poète et artiste en arts visuels j' explore tour à tour et ensemble les langages poétiques et plastiques. Dans mon travail, je retranscris plastiquement la parole écrite et peinte. Je crée des traces. De nos paroles. De nos silences. De nos présences. Mon oeuvre parle du temps multiple. Par le geste, les mots,les signes, les codes. J’écris des mots, j'écris des images. J’écris le temps comme un instant. Celui qui passe celui qui vient de passer. Je dis la mémoire du temps, l’oeuvre comme l’usure. L’oeuvre comme un instant d’être, le temps d’un passage. Mon oeuvre parle du temps et du non-temps, du geste plaintif d’exister. Du temps intérieur. Mes oeuvres ont été présentées en galeries,expositions,foires,marchés à: Paris Londres Berlin Bruxelles Montreux Namur La Haie Nice Le Mans Saint Étienne Quimperlé Dubai New York Chicago Miami Atlanta Toronto Ottawa Montréal Québec Knowlton Baie Saint Paul Magog
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- Le ciel se perd
- Le geste lent
- Ce silence de toi
- Les voix fragiles
- Les hiéroglyphes du printemps
- Les âmes visibles
- Signes premiers /3
- Métamorphoses de l'écrit
- Cette blessure
- L'étendue finie de vivre
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1 commentaires:
Elles paraissent, ces traînées de temps déversées au miroir, larguée par les ans. Elles révèlent nos méprises, lâches, cessesions du lâcher-prise.
Elles sont l’aube certaine d’un tricot aérien, léger. L’aurore d’un envol, permis, enligné. L'assumation. Car s’amorce ici, maintenant, la tombée d’un couperet; un dévoilement, global, prismatique. Arrive enfin une vision, s'impose l'offre ultime du soi, confronté. Total.
L’existence se réfracte, se miroite au trousseau de toutes morts, puissantes mises à jour: la levée de conscience. L’Océane. La Mitoyenne.
S’y jouxtent l’idéal, irisé, et les remords aigris. Petites rouilles et foudres d'oxyde sépia. Liquidés.
Que s’attendrissent éternellement, Monsieur Gabriel, vos chimères rosissantes : douces mémoires d’églantiers. Et que s’espacent leurs envers, ces chevrons de redoutes, poncés par la lumière, survenue!
Bienvenue. Bellement. Tellement!!!
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