Le ciel se perd
Le souffle arrêté
Devant la toile blanche
Une blessure commence avec la nuit
Une aile de bois
Sous la langue éteinte
Comme un lieu vide
À ne rien comprendre
Des heures qui se répètent
Le ciel se perd
Sur les lèvres du temps
Sous un arbre
Le silence se meut
Derrière une fenêtre
La lumière en contre chant se déchire
L’éternité immobile
Veille
*
Encre sur papier.
Facile! Il suffit de trouver le souffle, l’âme de l’encre.
(Rien à voir avec l'oeuvre ci-haut qui n'est pas une encre sur papier
mais une huile sur carton...et chacun sait que le carton n'a pas d'âme!!)
*
1 commentaires:
En outre... Toutefois, la terre vous sied! N'est-ce pas? Sacré bonus... Malgré l'enclave sur l'azur... Gaïa vous étreint, d'évidence. Dans le soulèvement de quelques embruns: ces huiles, cumuls texturés d'obscurités, semées, languies... Pistées, obstinément.
Il n'y a pas d'indifférence, monsieur Gabriel. Nulle autre pareille ou conforme, sinon qu'en l'univers, entier. Le Soi. Mis à jour. Pour un ciel de perdu... dix paradis gagnés, hi!hi!
Bon jour des Patriotes! X
Publier un commentaire
S'abonner à Publier des commentaires [Atom]
<< Accueil