lundi 30 septembre 2013

Orignal de toi / rouge


Orignal de toi / rouge
Acrylique et graphite sur papier
29 septembre 2013

vendredi 27 septembre 2013

Mouvements urbains / signe d'humains


Mouvements urbains / signes d'humains
Ciment & acrylique sur bois
76 x 61 cm
09/2013

mardi 24 septembre 2013

Terre de nuit / Toiture céleste

Terre de nuit / Toiture céleste
Acrylique sur bois marouflé sur toile
123 x 33 cm

samedi 21 septembre 2013

Lignes liquides / Mouvements urbains 1


Lignes liquides / Mouvements urbains 1
Ciment / acrylique sur bois
61 x 51 cm
21 Septembre 2013

jeudi 19 septembre 2013

Porte / vert de rouille and rose


Vert de rouille & rose
Porte arrière, conteneur commercial à déchets
Image numérique
Couleurs non-retouchées
Québec 19 septembre 2013

mardi 17 septembre 2013

Terre de nuit / 1


Terre de nuit / 1
Acrylique sur bois
61 x 76 cm
Septembre 2013

dimanche 15 septembre 2013

Petite palissade du temps qui passe


Petite palissade du temps qui passe
Acrylique, encre, sur bois
2013

mercredi 11 septembre 2013

Inquiétante étrangeté

Transfiguration automnale

9 septembre 2013 10h28 · Le Cercle
L’automne s’annonce comme la fin d’un long cycle de développement pour Le Cercle. Le Cercle tel que nous l’habitions depuis 5 ans se meurt… animé d’une nouvelle vitalité qui le déborde, nouvelle force de transformation active. Un cycle de re/naissance s’annonce qui culminera sur les festivités entourant notre 6e anniversaire en novembre.

Pendant cette période la direction artistique souhaite prêter regard aux dé-figures étranges de l’Inquiétant. Le phénomène d’inquiétante étrangeté affleure quand ce que la conscience tentait d’exclure de la perception fait retour. Une trouée accidentelle fait effraction dans l’image, générant en nous une sensation obscure. Cette faille intime qui inquiète au cœur du visible, est « ce lieu où l’intime se change en ombre déchirée et où le vivant et l’inanimé peuvent échanger leur place ».

L’inquiétante étrangeté est un sentiment « existentiel », au sens où il interroge de manière générale notre rapport sensoriel, affectif, pratique et cognitif au monde extérieur. Il rend certes compte de la désorientation du sujet face au monde contemporain dans lequel tombent les balises du familier, mais aussi de la constitution problématique de l’image.

L’image portant en elle tout à la fois la ressemblance et à la dissemblance, figuration et  défiguration, la forme et l’informe, la sensation d’inquiétante étrangeté fait donc surface lorsque la vision se résorbe et donne sur cette ouverture unique et momentanée qui transgresse entre la vie et la mort. Signe d’une déchirure dans le temps qui rompt l’organisation aspectuelle du semblable, le phénomène d’Inquiétante étrangeté s’apparente à celui de dépersonnalisation.

L’œuvre de Gabriel Lalonde dé-couvre ce processus à déchirer le moi et à tyranniser toute formation unitaire. Le sentiment qu’elle provoque réitère la difficulté à même l’identification projective de se placer par rapport à soi, autre, mais plus encore à faire face à ce qui transparaît à même le corps des images.

L’exposition « Je suis le chemin que je suis «  qui sera présentée au Cercle du 11 septembre au 3 novembre, , se présente comme un grand corps où se trace le phrasé même de la vie, souple, déformable et sinueux, qui se pense et se peint. L’œuvre de Lalonde se donne telle une matière explosive où le temps tourbillonne librement. « Tout va ensemble », « c’est tout des bouts » (dixit Lalonde) restitués au réel de la matière, restitués à l’immémorial qui propulse en même temps que la main s’englue dans le trait.

La trajectoire de Lalonde construite avec des morceaux, sans liens préconçus, sans développements ni méthode, semble ainsi délivrée du masque de cohérence qu’on imprime sur la fluidité de la vie réfléchie. À même le blanc de sa forme crevée, une surabondance de mouvements passe, s’y ébauche en tout sens, y laissant des traces vivantes, mais presque sans consistance.

Le trait s’y érotise de son propre mouvement, passe entre les plages de chair papier, ouvrant ainsi le corps au rayonnement de la matière fuyante. Jeté passionnément hors de soi, en un élan où la mort n’est plus le contraire de la vie, le corps est enfin libre de jouir de cette vibration qui l’anime à même la bascule du Souffle.

Inquiétante étrangeté donc d’ouvrir sa perception afin d’entrevoir les brèches et, par là, d’être soi-même entrevu, se laissant dessaisir, désorienter par l’Immense extérieur qui transfigure le geste de création.


Caroline Simonis, directrice artistique
LeCercle\SU Recherche & Développement










Lignes liquides et gestes sans fin / 2


Lignes liquides et gestes sans fin / 2
Acrylique sur bois
102 x 76 cm
Septembre 2013

lundi 9 septembre 2013

Rappel, vernissage Gabriel Lalonde

Rappel, Vernissage Gabriel Lalonde,"Je suis le chemin que je suis", mercredi le 11 septembre, 17 à 19 heures, au Cercle, 228 rue Saint Joseph est, Québec.

Oeuvre: (i.planches) / Les planches intelligentes, 2013

Extrait de noir / 2


Extrait de noir / 2
Acrylique, graphite sur papier & bois
Septembre 2013

jeudi 5 septembre 2013

Lignes liquides et gestes sans fin


Lignes liquides et gestes sans fin
61 x 76 cm, (détail )
Acrylique sur bois
Septembre 2013

mardi 3 septembre 2013

Planète de rue


Planète de rue
Objets de rue, quartier Saint-Roch
Québec, septembre 2013

lundi 2 septembre 2013

Marche noire



Marche noire
Acrylique sur papier
Septembre 2013

dimanche 1 septembre 2013

L'art est un lieu